Le bilan carbone de Selency révèle l’impact de l’industrie de l’ameublement

Dans un reportage du 27 février 2024, Arte avait montré une enquête sur la productivité d’Ikea : 422 magasins dans 50 pays, un milliard de clients et plus de 2 000 nouveaux articles au catalogue par an, sont les chiffres remarquables du géant suédois.

Néanmoins, cette belle productivité a un coût par rapport à l’environnement : en effet, un arbre est abattu toutes les deux secondes.

En ce début d’année 2024, Greenpeace avait publié un rapport sur la tendance à l’augmentation de la déforestation et de la dégradation des forêts, malgré l’expansion de la certification FSC.

Selency, la marketplace du mobilier de seconde main, se positionne contre la tendance de greenwashing, de plus en plus en vogue aujourd’hui.

En plus, le mobilier de seconde main est un secteur qui progresse et gagne des parts de marché chaque année, chose qui doit faire réfléchir quant à l’impact sur l’environnement.

À l’échelle nationale, aujourd’hui, huit Français sur dix achètent du mobilier de seconde main.

Le premier bilan carbone réalisé par Selency révèle son impact sur l’industrie de l’ameublement.

Voici les données statistiques qui sortent de l’étude :

• 74 % des achats sur Selency remplace un achat de première main : en 2022, Selency a permis d'économiser 4 863 tonnes de CO2eq. Ces résultats se traduisent par une absorption carbone annuelle moyenne de 243 000 arbres, qui sont ainsi préservés.
• 80 % d’économie de CO2 contre l’achat d’un produit neuf.
• 99,5 % des acheteurs sont dans une démarche d’achat durable et prévoient de garder le produit plus d’un an.